Campagne de l'Est Barbarossa
POUR L‘ALLEMAGNE AU POSTE
Wir standen für Deutschland auf Posten
Norbert Schultze
Mélodie : Wir standen für Deutschland auf Posten
1. Pour l’Allemagne au poste, Nous montons grande garde. Le soleil se lève à l’Est, Appelant des milliers au combat. Refrain De Finlande à la Mer Noire, En avant, en avant ! En avant, en avant vers l’Est, armée d’assaut Liberté est le but, victoire le drapeau ! Führer, ordonne, nous te suivrons ! Refrain
2. La marche commencée par HorstWessel, Dans l’habit brun des S.A, Les gris uniformes la ferment, La grande heure est là. Refrain
3. Vers l’Est foncent les armées Fans le pays russe. Camarde, au fusil La victoire est à nous !
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1. Wir standen für Deutschland auf Posten Und hielten die große Wacht. Nun hebt sich die Sonne im Osten Und ruft die Millionen zur Schlacht.
Refrain: Von Finnland bis zum Schwarzen Meer: Vorwärts, vorwärts! Vorwärts nach Osten, du stürmend' Heer! Freiheit das Ziel, Sieg das Panier! Führer, befiehl! Wir folgen dir!
Im braunen Gewand der SA Vollenden die grauen Kolonnen: Die große Stunde ist da! Refrain:
3. Nun brausen nach Osten die Heere Ins russische Land hinein. Kameraden, nun an die Gewehre! Der Sieg wird unser sein! |
Texte Wir standen für Deutschland auf Posten
Norbert Schultze
fr. : Yves Kéler 20.12.2016, Bischwiller
Mélodie Wir standen für Deutschland auf Posten
Pas indiqué
Le texte
Dans ce chant se pose le problème de la rime: il est impossible de rimer si on veut conserver le sens. Je me suis donc contenté de rythmer la phrase, pour obtenir un texte coulant.
Ce chant est une hymne nazie qui cite la fameuse phrase : « Führer, ordonne, nous suivrons. »
Il montre le prolongement de la théorie nazie, commencée par la construction d’un régime soumis à Hitler et qui Mènera l’Allemagne à sa ruine. Ce chant illustre ma thèse dans l’introduction que les chants nazis sont l’expression de la théorie qui conduit à la guerre. Il fallait bien y préparer le peuple allemand et l’appeler à une soumission aveugle au Guide. Le chant fit partie des moyens d’embrigadement du peuple en vue de la guerre, dernier aboutissement du système.