31. SUR CES ÉPOUX, DU HAUT DU CIEL (rév) Révision de LP 374

MARIAGE                                              N° 31
MÉMORIAL DU MARIAGE
20e dimanche après la Trinité


                      SUR CES ÉPOUX, DU HAUT DU CIEL 
                                    Révision de LP 374

                Mélodie : Wie schön leuchtet der Morgenstern

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Texte de Conf. d’Augsbourg 1846                             Extraits du chant de Spitta

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1. Sur ces époux, du haut du ciel,

    Pose en cet instant solennel

    Un regard favorable.

    Dieu riche en bénédictions,

    Fais briller sur eux les rayons

    De ta face adorable.

    Accrois  Leur foi !

    Ta lumière,  Divin Père, 

    Les éclaire ;

    Garde-leur un cœur sincère !

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2. Ils ont imploré ton saint nom ;

    Seigneur, toi, comble leur union

    De ta bonté céleste.

    Sur leur maison verse ta paix ;

    Que ta grâce en mille bienfaits

    Sur eux se manifeste.

    Amen,  Amen !

    Toi leur guide,  Viens, préside

    Sanctifie

    Chacun des jours de leur vie !

str. 1  : Ich und mein Haus

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            deinen Segen

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str. 2  : es wirke

            das Sonnenlicht, das rechte Licht

            es leucht

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str. 6  :  flehn wir

str. 5  :  Gnadenfülle 

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str. 3  :  Giess deinen Frieden auf das Haus

str. 4 :   Gnade, str..5 : irdsches Gut

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str. 6  :  Sende, sende

             Zucht

             Bis wir wallen

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Texte:  

Sur ces époux, Père éternel
Anonyme
C.A 1846 = Recueil Confession d’Augsbourg Paris 1846, n° 330
Sur ces époux du haut du ciel
LP 374
rév. : Yves Kéler, 1989
ABD 543, EG 600

Mélodie :

Wie schön leuchtet der Morgenstern
Philipp Nicolai 1599
RA 61, EKG 4, EG 70
fr. : Brillante étole du matin
LP 90, ALL 32/14
ABD 543, NCTC 183, ARC 367

Le texte

Ce texte est le deuxième exemple de « Nachdichtung – chant dérivé », annoncé au N° 30. Cette fois, il s’agit d’un résumé en deux strophes françaises, destiné au Recueil Luthérien de France de 1846. À cette date, l’Église Luthérienne de France, appelée « Église de la Confession d’Augsbourg », créée en 1802 par les « Articles organiques du Culte protestant », était une sur tout le territoire de la France et de l’Algérie. Cette Église était dirigée depuis Strasbourg, et possédait, hors de l’Alsace et de la Lorraine germanophone, deux inspections francophones, celle de Montbéliard et celle de Paris. Pour ccs paroisses francophones, plus celles des vallées vosgiennes, le Recueil de 1846 avait été conçu.

Ce cantique anonyme, en deux strophes, est fait à partir du chant de Gerhardt et surtout de celui de Spitta. On retrouve des fragments de ces deux chants dans le texte français. Le tableau en regard du texte le montre. La fonction de ce chant était d’encadrer la bénédiction, ce que C.A. 1846 et LP 374 précisent.

Pour le reste du commentaire, voir au chant précédent, N° 31.

La mélodie

Voir au chant N° 30 « Comme il est beau, Seigneur Jésus. »