LES CIEUX PROCLAMENT TA GRANDEUR
LOUANGE
CREATION
LES CIEUX PROCLAMENT TA GRANDEUR t
Dein Lob, Herr, ruft der Himmel aus
d’après le Psaume 19
Mélodie : Geh aus, mein Herz, und suche Freud
Nun Hosianna, Davids Sohn
Psaume 19
1. Les cieux proclament ta grandeur, v. 2-3
Le firmament dit ta splendeur
Par la voix des étoiles.
Le jour si clair, la noire nuit,
Alternent. Tout le ciel reluit,
Très pur, sans fin, sans voile.
2. Sur terre aucun peuple ou pays v. 5a
Qui ne perçoit le faible bruit
Du monde dans sa ronde.
Dès le lever jusqu’au coucher
S’étend sa voix pour indiquer
Que Dieu conduit le monde.
3. Ta gloire au ciel est le soleil ! v. 5b
Il nous salue dès le réveil.
Ta loi et ta parole v. 8-9
Sont le salut, la vérité
Que ta lumière a révélés,
Qui dans nos maux consolent.
4. Délivre-moi du monde ancien v. 14-15
Qui me séduit, me trompe, afin
Que de toi je m’éloigne.
S’il ne devient mon maître en rien,
Je reste dans ta forte main :
De toi, Dieu, je témoigne.
5. Que la prière de mon cœur v. 15
S’élève à toi, mon Rédempteur,
Plus belle et plus fervente.
Toi seul, mon tout-puissant Sauveur,
Tu me secours dans mes malheurs
Par ta bonté aimante.
Texte Dein Lob , Herr, ruft der Himmel aus
d’après Psaume 19, dit Gotteslob
Albert Curtz 1659
dans Gotteslob, GL
katholisches Gebet- und Gesangbuch
Stammausgabe, 1975
Katholische Bibelanstalt Stuttgart
Nr 263
dans Weg des Lebens, WdL
Sonntagsmessbuch 1958
Verlag Veritas, Linz a.d. Donau
Nr 703
fr. : Yves Kéler, 30.6.2012 Grasse
Mélodie Dein Lob, Herr, ruft der Himmel aus
Augsburg 1669
autre Nun Hosianna, Davids Sohn
= Geh aus, mein Herz, und suche Freud
chez Balthazar König, 1738
RA 326, deest EKG et EG
L’auteur
Albert Curtz, né et mort à Munich, 1600-1671, en latin Albertus Curtius, Jésuite bavarois, écrivain et traducteur, et astronome de renom.
(* 1600 in München; † 1671 ebenda; lateinische Schreibweise: Albertus Curtius) war ein bayerischer Jesuit, Schriftsteller und Übersetzer, sowie bedeutender Astronom. Wikipedia)
Le texte
Le chant met en musique le Psaume 19. Il semble que la forme en 5 strophes , donnée par GL et WdL ainsi que sur Wikipedia est abrégée. En effet, le texte suit les versets du Psaume biblique, comme il est signalé à côté du texte, mais plusieurs versets n’apparaissent pas, ce qui laisse supposer que les strophes en rapport ont été enlevées. Gotteslob dit : « nach Albert Curtz 1659 », ce qui indique que le texte actuel est cité « d’après Curtz », et non donné comme « de Curtz ».
Il manquerait les versets bibliques 4, 6 et 7, qui pourraient correspondre à une strophe. On a peut-être fondu deux strophes en une, dans la 2e str. actuelle, qui regroupe Les versets 5b et 8-9, et sacrifié celles qui correspondent aux versets 6 et 7.
De même, les versets bibliques 10 à 13 n’ont pas de strophe correspondante et peuvent représenter 3 ou 4 strophes, selon le découpage choisi. Celui-ci n’est pas régulier : les strophes ne correspondent pas précisément aux versets psalmique.
Au total, il pourrait manquer 6, sinon 7 strophes, ce qui portrait le chant primitif à 11 ou 12 strophes.
Article de WIKIPEDIA sur Albert Curtz
1616 trat er in den Jesuitenorden ein, war danach Lehrer für Mathematik und Ethik in Dillingen an der Donau (1626 – 1629), später Domprediger zu Sankt Stephan in Wien und ab 1646 Rektor des Kollegiums in Nürnberg.
In seinen wissenschaftlichen Werken beschäftigte er sich unter dem Pseudonym Lucius Barrettus, einem Anagramm seines latinisierten Namens, vor allem mit der Erforschung des Mondes und setzte in seinem Werk Historia coelestis die Arbeit von Tycho Brahe fort. Neben Johann Deckers, Johannes Kepler, Francesco Maria Grimaldi und Giambattista Riccioli zählt er zu den bedeutendsten Erforschern des Erdmondes in der Barockzeit.
Seine literarischen Werke, darunter seine Psalmübersetzung Die Harpffen Davids Mit Teutschen Saiten bespannet (Augsburg, 1659) veröffentlichte er auf Deutsch, wobei er sich der in Süddeutschland, Österreich und der Schweiz gängigen oberdeutschen Schreibsprache bediente. Damit stellte er sich bewusst gegen die schon in seiner Zeit mit einem höheren Prestige behaftete ostmitteldeutsche Schreibsprache wie sie etwa von Martin Opitz progagiert wurde und rechtfertigt diese Entscheidung auch in seinem Werk.[1] Sein Schreibstil zeigt Ähnlichkeiten zur Sprache seines Zeitgenossen, des bayerischen Barockdichters Johannes Kuen.
Der Mondkrater Curtius ist nach ihm benannt.