D. 11. 1er dimanche de l’AVENT : Confession des péchés + P de g

AVENT :  1er Dimanche
Le Seigneur vient
 

1.   ( Le Seigneur vient)

      Dieu juste, nous vivons comme si nous attendions
      ta venue sans espoir.
      Et pourtant, tu es déjà au milieu de nous.
      Nous ne voyons pas tes signes, nous n’entendons pas tes paroles,
          nous passons à côté de tes œuvres et nous ignorons tes créatures,
          nous avons peur, comme si nous n’avions jamais connu ton aide.
      Dieu juste, toi qui libères les prisonniers,
                     toi qui visites les malades,
                     qui consoles les mourants,
                     qui décharges les coupables,
          aie pitié de nous et pardonne-nous.    Amen.      
 
P. de g. :     Le psalmiste dit ( Le Psaume 145 dit) :
      » Le Seigneur soutient ceux qui tombent,
       il redresse ceux qui sont abattus.  »        
       Ps 145/14   
                                   (Homiletische Monatshefte 1985)
 

2.   (trinitaire : début de l’année de l’Eglise)

      Dieu tout puissant, notre Père,
      nous invoquons ton nom saint à cause de nos péchés :
      aie pitié de nous dans ta grande miséricorde.
      (A. Amen.)
 
      Christ, Fils de Dieu,
      Toi qui es devenu homme pour notre salut,
      qui es mort et ressuscité,
      qui es monté au ciel auprès du Père,
      aie pitié de nous, et rends-nous reconnaissants.
      (A : Amen)
 
      Esprit saint, consolateur des cœurs malheureux,
      toi qui détruis la douleur du péché,
      aie pitié de nous, et viens habiter dans nos cœurs,
      afin que nous accomplissions ta volonté.
      (A :Amen)
 
      Ecoute-nous Père, Fils et Saint-Esprit
      (A : Amen)
 
P. de g :       L’apôtre Paul nous dit:
       » C’est une parole certaine et digne d’être reçue avec confiance, 
        que Jésus-Christ est venu dans le monde, 
        pour sauver les pécheurs.  » 
        I Timothée 1/15     
                                   (Bad.Ag 1962)
 

3.  (Le Seigneur vient)

      Seigneur, notre Dieu, souviens-toi de l’Eglise de ton Fils.
      Vois, nous sommes détournés de toi,
      nous sommes tombés dans l’injustice , la colère et le doute.
         Romps notre enfermement devant toi.
      Et que ta lumière sainte dissipe l’obscurité de nos cœurs
         Pardonne-nous et fais-nous marcher avec une confiance
         et une joie nouvelles, dans la communion avec toi. Amen.
 
P.de g :   Esaïe, le prophète, proclame:
       » L’Eternel a envoyé son Serviteur 
        pour guérir ceux qui ont le cœur brisé,
        et proclamer aux captifs la liberté
        et aux prisonniers la délivrance.  »    
        Esaïe 61/1   
                                   (Altmann 1948/3)          
 


4.  Kyrie, antiphoné


voir le même type de Kyrie sous
Noël, 25.12
et Passion/Rameaux

1.  I   Rosée venue du ciel,
         Salut que tous désirent,
     II. Seigneur, aie pitié.

2.  I   Lumière qui éclaire la nuit,
         Consolation du monde perdu,
     II  Christ, aie pitié.

3.  I   Viens du trône éternel,
          Jésus, fils de l’homme :
     II  Seigneur, aie pitié.

         Texte         Tau aus Hillelsh¨hn
                          Maria Luise Thurmaier 1952
                          dans Gotteslob Stuttgart 1975, N° 103
                          fr. : Yves Kéler 8.3.2012

           voir         pour Noël, sous Noël 25.12

                          pour la Passion,
                                   sous Rameaux et Vendredi saint

         Mélodie      Tau aus Himmelshöhn
                          Heinrich Rohr 1952
                          dans Gotteslob Stuttgart 1975, N° 103

Texte original

voir le même type de Kyrie sous Noël, 25.12
et Passion : Rameaux, des mêmes auteurs

1.  I   Licht, das uns erschien,
         Kind vor dem wir knien,
     II  Herr, erbarme dich.

2.  I   Dem sich der Himmel neigt,
         Dem sich die Erde beugt,
     II  Christus, erbarme dich.

3.  I   Glanz der Herrlichkeit,
         König aller Zeit,
     II  Herr, erbarme dich.

5. Confiteor, utilisable toute l’année

Je sais, ô mon Dieu,

et je le reconnais à la face du ciel et de la terre,

que j’ai méprisé ta majesté par un nombre infini d’offenses.

Je désire de tout mon cœur les réparer et apaiser ta colère,

irritée avec raison contre moi.

        Mais que puis-je faire pour cela ?

Mes prières et mes meilleures actions sont-elles dignes de toi ?

Et mérité-je autre chose par moi-même qu’une juste condamnation ?

        O père des miséricordes,

détourne tes yeux et jette-les sur ton Fils, l’Admirable,

l’objet de ton affection.

Car il s’est offert et immolé lui-même en satisfaction pour mes iniquités.

Ecoute donc la voix du sang de ton Fils, innocente victime,

qui parle pour moi mieux que le sang d’Abel,

et pardonne à l’ humble pécheur qui se tient devant toi.

Amen.

      ( Histoire de l’Institution de la fête du Saint Sacrement

        avec des méditations et l’office, à l’usage de Rome

        et de Paris, Hyacinthe de Montargon, Pars, 1753)

(Claude Conedera et Yves Kéler 2012)