D. 15. Nuit de NOËL : Confession des péchés + P de g

NOEL Nuit de Noël
La naissance de Jésus

1.   Père céleste,
nous nous présentons devant toi avec ce qui nous fait de la peine,
 
nos fautes, nos erreurs, nos révoltes et notre amertume.
En ce soir, où nous  fêtons l’arrivée de ton Fils sur la terre,
nous confessons notre péché et notre manque de confiance en toi
et de générosité envers nos frères et nos prochains. 
Pardonne-nous, change notre vie et notre cœur
et donne la joie d’accueillir ton Fils comme notre Maître et Seigneur.)

P de g : L’amour de Dieu a été manifesté ainsi envers nous :
            Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde
            afin que nous vivions par lui.    
            1 Jean 4/9  
                                     (d’après Badische Agende 1984)

2.    Seigneur, notre Dieu, tes anges annoncent à Noël la paix.
Mais les tensions, les violences et les guerres menacent Bethléem
et règnent sur beaucoup d’endroits de ce monde.
Seigneur nous n’avons pas assez lutté pour la paix,
et les guerres, souvent lointaines, nous indiffèrent.
Seigneur pardonne notre dureté de cœurs
et fais de nous des instruments de ta paix.
Ouvre nos mains, fais nous contribuer au bien-être
et à la santé des plus petits et des faibles dans le monde.

P de g : Paix sur la terre et bienveillance aux homme que Dieu aime !     
            Luc 2/14

                                     (Bad.Ag. 1983) 

3.    Seigneur Jésus, tu viens dans notre monde, aujourd’hui.
Ce soir nous en faisons mémoire.
Mais Seigneur, nous t’avons enfermé dans nos fêtes,
au lieu de nous rendre à la tienne.
Nous nous retirons dans nos maisons,
et ne voyons plus ceux qui nous entourent.
Tu es le Sauveur des pauvres et nous fêtons comme des riches.
Pardonne Seigneur notre égoïsme, fais nous sortir de l’isolement,
purifie nos cœurs de toute injustice,
ouvre-les à ta bonne nouvelle, et prépare-nous à te recevoir. Amzen.

P de g : Le Seigneur Jésus a pitié de vous (nous).
            Ecoutez la promesse de sa grâce, quand il dit :
            Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique,
            afin que quiconque croit en lui ne périsse pas,
            mais qu’il ait la vie éternelle. 
            Jean 3/16

                                    (d’après Homiletische Monatshefte 1987)

(Claude Conedera et Yves Kéler 2007)