S. 1 | 2. 28. : dimanche des RAMEAUX

A. PREFACE COMPLETE 

1. Il est vraiment digne et juste,
c’est notre joie et notre salut

de te rendre grâces en tout temps et en tout lieu,
Dieu éternel, Créateur de ce monde, notre Père,
par ton Fils Jésus-Christ, notre Seigneur.

Car lui, qui était en forme de Dieu ,
n’a pas considéré comme une proie à saisir
d’être l’égal de Dieu.
Au contraire, il a quitté sa demeure céleste
il a pris la forme d’un serviteur
et il est devenu égal aux hommes.  
Il s’est abaissé lui-même,
il est devenu obéissant jusqu’à la mort,
même la mort de la croix.
Ainsi, il a accompli la parole des prophètes,
il est entré à Jérusalem au milieu de son peuple
il est entré dans le Temple de Dieu,
et il a ouvert le chemin du salut.
(Quand il reviendra dans l’éclat de sa majesté,
il nous fera participer à son repas céleste
et nous recevrons de sa propre main
la nourriture de la vie éternelle).

Par lui les ages acclament ta majesté, l
a création entière te célèbre et te loue,
toutes les puissances céleste
et tous les rachetés te chantent dans une joie unanime.
Avec eux nous unissons nos voix
et chantons pleins de joie :

                    p 256 préface de la Passion II

SANCTUS

PRIERE EUCHARISTIQUE

Oui tu es saint, Dieu tout puissant,
dans toutes tes œuvres
et dans le décret de ta miséricorde.
Rempli du Saint-Esprit,
ton Fils a accompli notre salut.
Il a servi les siens jusqu’à la fin
et pris volontairement sur lui la souffrance.
Ainsi, il a enlevé à la mort son pouvoir
et vaincu les puissances de destruction.

              p 286  prière eucharistique II,
                         temps de la passion         

PAROLES D’INSTITUTION

  PASSION II (Die Feier der Evangelichen Messe,
                                  Michaelsbruderschaft  2009
                                  Vandenhoeck –Ruprecht, Göttingen)

 
B. PREFACE COMPLETE


2.      Il est digne et juste, nécessaire pour notre salut,

que nous te rendions grâces en tout temps et en tout lieu,
à cause de ton Fils, Jésus, le Christ, notre Seigneur.

Car il est entré triomphalement dans le Temple de ta sainteté,
et il a fondé un mémorial de sa gloire.
Il n’a pas considéré comme une proie d’être égal à toi,
il a été incarné dans la forme d’un serviteur,
devenant obéissant jusqu’à la mort.

C’est pourquoi la multitude des anges le loue,
les puissances et les dominations le craignent,
le peuple de ton Eglise le célèbre.

A leurs voix nos joignons les nôtres
et chantons l’hymne de ta gloire :
Saint, Saint, Saint… (Sanctus)

Oui, tu es saint, Dieu du ciel et de a terre,
Dieu éternel et Père tout-puissant,
car tu as eu pitié de ton peuple et tu lui as envoyé ton Fils.
Nous venons à toi avec le pain et le vin de la cène
et nous nous préparons à célébrer son testament, selon sa volonté.

Paroles d’institution

                   (d’après Eucharistiegebete Bayern 2005)


C.  PREFACE COMPLETE


3.      Vraiment, il est digne et juste,

nécessaire et salutaire pour nous tous,
que nous te rendions sans cesse grâces,
Seigneur saint, Père tout-puissant, Dieu éternel,
par Christ notre Seigneur.

        Car par lui tu as accompli le salut
de la race humaine sur le tronc de la croix.
Et comme la mort a pris son commencement
par la désobéissance d’Adam à l’arbre du paradis,
ainsi la vie a repoussé au bois de la croix
par l’obéissance de ton Fils.

Par lui les anges chantent ta majesté,
les dominations t’adorent, les puissances te craignent.
Les cieux et toute leur armée avec les séraphins,
te glorifient d’une voix unanime .

Avec eux accorde-nous d’unir nos voix et de chanter sans fin :

Saint, Saint, Saint… (Sanctus)

Tu es saint, Dieu créateur du ciel et de la terre,
car tu as pris pitié de nous et tu as envoyé
dans la chair ton Fils Jésus-Christ.
Nous te rendons grâces pour sa mort innocente sur la croix.
Nous adorons la puissance de ton amour,
maintenant que selon ses propres paroles et sur son ordre,
nous exécutons son testament.


Paroles d’Institution 

                   (Lutherische Agende I, 1964)

D.     PARTIE MOBILE  

        (pour le cadre fixe de la préface,
         voir S. 1 / 2 : 00 CADRE FIXE DE LA PREFACE )

(Claude Conedera et Yves Kéler 2010)