Mélodie : An Wasserflüssen Babylon
= L’Agneau de Dieu va de bon coeur
1. A Babylone au bord des eaux
Nous répandions nos plaintes.
Assis le long de ses canaux,
Loin de Sion la sainte.
Nos harpes pendaient, accrochées
Aux saules de cette contrés :
Fini de nos cantiques !
Ils disaient : « Que fait votre Dieu,
Que vous soyez si malheureux
Et renonciez à vos musiques ? »
2. – « Comment chanter selon vos vœux,
Si loin de notre ville ?
Comment jouer pour notre Dieu
Sur une terre hostile ? »
Si je t’oublie, Jérusalem,
Si je t’oublie, mont de Salem,
Qu’alors m’oublie ma droite.
Seigneur, souviens-toi des malheurs,
Quand l’ennemi brisa nos cœurs
Et détruisit l’enceinte sainte.
3. Ce qui n’est aujourd’hui que pleurs
Sera demain des rires,
Car du plus triste des malheurs
Notre Seigneur nous tire.
Comme on apporte en la saison
La lourde gerbe des moissons,
Ramène, ô Dieu, ton peuple,
Comme un ruisseau dans le désert,
Comme un soleil après l’hiver,
Et rebâtis ton Temple.
Texte An Wasserflüssen Babylon Ps 137
Wolfgang Dachstein 1525
fr. : Pierre Lovy 20.5.1987
révision : Yves Kéler, 5.3.2012
Mélodie: An Wasserflüssen Babylon
Wolfgang Dachstein 1525/1526
RA 66, EG 83
fr. : L’agneau de Dieu va de bon coeur
LP 124
Tu vins, Jésus, pour partager
NCTC 188, ARC 456, ALL 33/04