MATIN
SOIR
DEVANT TON TRONE, O DIEU, JE VIENS N° 18
d’après « Vor deinen Thron tret ich hiemit »
Mélodie : Wenn wir in höchsten Nöten sein
Pierre Lutz
RA
1. Devant ton trône, ô Dieu, je viens, str. 1
De ta pitié je me souviens ;
Veuille accueillir avec faveur
Ton bien indigne serviteur.
2. De tout cœur je te dis merci str. 5
De m’avoir gardé jusqu’ici ;
Et je remets entre tes mains
Ma vie ainsi que tous mes biens.
3. Lorsque sur moi descend le soir,
Je remercie de ce savoir
Que jamais ta fidélité
Ne prend fin dans l’obscurité.
4. Puis, quand arrivera la nuit,
Où plus aucun soleil ne luit,
Que le grand feu de ton amour
M’éclaire mieux que le plein jour.
5. Dans ta paix laisse-moi dormir, str. 7
Puis du sommeil fais-moi sortir ;
Enfin, en toute éternité,
Te contempler dans la clarté.
Texte Vor deinen Thron tret ich hiemit
Bodo von Hodenberg 1604-1650
3 strophes de ce texte : 1, 5, 7
les autres librement composées par Pierre Lutz
fr. : Pierre Lutz, mars 2006
Mélodie : Wenn wir in höchsten Nöten sein
Strasbourg 1545,
Johann Baptista Serranus 1567
Wittenberg 1567
RA 452 et 68, EG 366
Serranus 1540 Lehrberg bei Ansbach (Franken)
Kantor à Ansbach,
pasteur à Vinzenzenbronn
près de Fürth, (Nuremberg)
mort à Vinzenzenbronn en 1600
Pour les commentaires et la place dans l’œuvre de Pierre Lutz,
voir « Les chants de Pierre Lutz »