PAR LE BAPTEME DANS L’ALLIANCE (trad) Baptême to

BAPTEME
1er JANVIER
1er DIM. APRES L’EPIPHANIE
QUASIMODO GENITI
6ème DIM. APRES LA TRINITE


         PAR LE BAPTEME DANS L’ALLIANCE
             ( Ich bin getauft, ich steh im Bunde )

                         Starks Gebetbuch

        Mélodie : Wer nur den lieben Gott lässt walten
                      O dass ich tausend Zungen hätte


1. Par le baptême dans l’alliance
    Avec mon Père, avec mon Dieu,
    Je peux dire avec espérance,
    En peine et souffrance, en tout lieu :
    Par le baptême j’ai la foi,
    Je garde en tous les temps ma joie.

2. Par le baptême Dieu m’accorde
    L’habit de gloire le plus beau,
    L’habit de sa miséricorde
    Qu’ici je porte, puis là-haut :
    Jésus par son sang m’a lavé,
    M’a purifié, m’a racheté.

3. Par le baptême je figure
    Au livre de vie par mon nom.
    Mon Père et Dieu m’aime, il le jure,
    Il me fait grâce, il est très bon.
    Dieu me connaît, je suis serein,
    Inscrit, mon nom est dans sa main.

4. Par le baptême qu’ai-je à craindre ?
    Je reste en tout l’enfant de Dieu.
    Mon Père en ses bras veut m’étreindre,
    M’aimer, m’aider depuis les cieux.
    Et quand l’épreuve me saisit,
    Il me dit : « Vois, je suis ici ! »

5. Par le baptême l’adversaire
    S’en va, Dieu le repousse au loin.
    Dieu tend sa main, sa force opère :
    Que peut me faire l’homme vain ?
    Qui touche à un enfant de Dieu,
    Voit qu’il le garde en chaque lieu.

6. Par le baptême, si la tombe 
    Est grande ouverte devant moi,
    Je sais, tout ici-bas succombe,
    Mais ma patrie est, par la foi,
    Le joie du ciel, l’éternité
    Avec Jésus ressuscité.

            Texte         Ich bin getauft, ich steh im Bunde
                              Anonyme. Stark ?
                              dans Gebetbuch de Stark, page 351
                              Partie: III. Abschnitt, 
                              „Der gläubige erinnert sich seines Taufbundes“
                              frs : Yves Kéler, 11.1.2010

            Mélodie     Wer nur den lieben Gott Lässt walten  
                               Georg Neumark 1641, 1657 (1621-1681)
                               RA 454, EG 369
                               Frs : Je te contemple, o splendeur sainte
                                       LP 129
                                       Splendeur et gloire sur la terre
                                       NCTC 189, deest ARC, ALL 33/18
                                       Seigneur, reçois, Seigneur pardonne
                                       NCTC 270, ARC 407, ALL 43/04

              ou            O dass ich tausend Zungen hätte
                              (Lied Johann Mentzer 1704 (1658-1734)
                              mélodie : bei Balthazar König 1738, 1790
                              EKG 238, RA 337, EG 330
                              Frs : Oh! Que n’ai-je la voix de l’ange
                                      LP 79, deest NCTC, ARC, ALL


Le livre de prières de Stark

        Ce cantique a paru dans le livre de prières de Stark, sous le nom de « Tägliches Handbuch in guten und bösen Tagen », en 1728 à Francfort. Stark Johann Friedrich (* 10. Oktober 1680 in Hildesheim; † 17. Juli 1756 in Frankfurt am Main), était un pasteur luthérien, marqué par le piétisme. Son livre de prières avec les cantiques qu’il contient ont été l’un des livres de piété les plus lus. On compte 64 rééditions recensées. Une édition en a encore été faite en 1949, et semble-t-il plus récemment encore. Il est proposé par plusieurs maisons d’antiquariat.

        Les cantiques du livre ne portent pas de nom d’auteur. D’après leur style et la répétition des mêmes thèmes, il est probable que beaucoup sont des compositions de Stark lui-même. Ce type de chants, achevant une rubrique de prière, composés par le rédacteur du livre de prières, se trouve couramment dans tous les livres de prière protestants du temps : Arndt, Bogatsky, Scriver, Schmolck, Lentz, et même plus tard chez Blumhardt, au 19e Siècle. Beaucoup de ces chants ont la même mélodie. Le choix des mélodies est restreint. Le cantique ci-dessus entre dans cette catégorie. D’autres chants du livre proviennent d’auteurs connus.

        Chaque livre de prière a des mélodies que l’auteur affectionne plus particulièrement. Certaines de ces compositions, parues pour la première fois dans des livres de prière, sont devenues célèbres et ont passé dans les livres de cantiques. C’est le cas notamment pour plusieurs chants de Benjamin Schmolck.

Le chant

        C’est un chant de Mémorial du baptême, à chanter aprèzs le baptême au culte, pour que les chrétiens rassemblés se rappellent leur propre baptême en assistant au baptême de quelqu’un d’autre, et pour qu’ils fassent entrrer le nouveau baptisé ddans leur communauté.

        Str 1 :  Le premier thème est celui de l’alliance, avec Dieu, selon le modèle de l’Ancien Testament : le baptême fait entrer dans le peuple de Dieu et dans l’alliance que celui-ci a contracté avec son peuple. Mais c’est aussi la nouvelle alliance, avec le Christ et selon le modèle de son baptême.  

        Str 2 : le baptisé reçoit l’habit nouveau de l’homme nouveau. Ceci est rappelé à Quasimodo Geniti, dimanche » in albis – dans les aubes », appelé aussi « Weisser Sonntag – dimanche blanc », auquel les nouveaux baptisés de Pâques allaient à l’église vêtus du vêtement blanc de leur baptême. De même, le 6ème dimanche après la Trinité rappelle que la foi du chrétien est basée sur la Parole de Dieu (1er au 5ème dimanche) et sur les deux sacrements du baptême, 6ème dimanche, et de la Sainte Cène, 7ème dimanche.

        Str 3 :  le baptisé reçoit un nom nouveau, en même temps que le nom du Chriqst lui est appliqué : « baptisé dans le nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ». Le 1er janvier est le rappel du don de son nom à Jésus et du don de notre nom.

        Str 4 : le baptême est l’adoption filiale du chrétien. Il est reçu par Dieu comme enfant et héritier légitime, par le baptême en Christ, qui devient ici son frère.

        Str 5 : après le baptême se place la tentation du Christ par Satan. Le baptême me rappelle que, comme Jésus fut tenté pour que sa foi fût éprouvée, moi aussi je suis tenté, sur le modèle du Christ.

        Str 6 : le baptême me permet de passer par la mort sans crainte, puidsque je suis déjà passé par la mort dans l’eau, et que je suis devenu un enfant du ciel.

        Ce chant de mémorial peut donc servir à diverses occasions, après un baptême, ou bien aux dimanches de mémorial cités.


La mélodie

        Celle propsée par le livre de Stark est « Wer nur den lieben Gott lässt walten », qui est une mélodie plutôt retenuec et méditative, mais dont le thème est plutôt l’acceptation de ce que fait Dieu. La mélodie « O dass ich tausend Zungzen hätte“ est plus vivante. Ellecrenvoie de plus au chant de mémrial du baptême « Ich getauft auf deineinem Namen », de Johann Jacb Rambach 1735. Il est probable que le chant de Stark, dont le début de l’incipit est le même, s’inspire de ce dernier  chant.

Extrait de WIKIPEDIA


STARK Johann Friedrich


Gebetbuch von Stark, oder « Starks Gebetbuch »

                   Johann Friedrich Starck
(* 10. Oktober 1680 in Hildesheim; † 17. Juli 1756 in Frankfurt am Main)

Johann Friedrich StarckJohann Friedrich Starck (* 10. Oktober 1680 in Hildesheim; † 17. Juli 1756 in Frankfurt am Main) war ein lutherischer Theologe und einer der meistgelesenen Schriftsteller seiner Zeit. Seine pietistischen Erbauungsschriften und Kirchenlieder erlebten zahlreiche Auflagen.

Inhaltsverzeichnis [Verbergen]
1 Leben
2 Familie
3 Werke
4 Literatur
5 Weblinks
 
 Leben  [Bearbeiten]
Starck wurde in Hildesheim als Sohn eines aus Frankfurt stammenden Bäckermeisters geboren. Nach dem Besuch des Gymnasiums in seiner Heimatstadt studierte er ab 1702 an der Universität Gießen Theologie bei Johann Heinrich May d.Ä. und Johann Ernst Gerhard. Die Gießener Universität war ein Zentrum des Pietismus. Starck schloss sein Studium am 3. November 1706 mit einer Dissertation ab und nahm anschließend eine Stelle als Hauslehrer in Frankfurt am Main an. 1709 wurde er als Diakon an die deutsche evangelische Gemeinde in Genf berufen, wo er bis 1711 blieb. Nach einem kurzen Studienaufenthalt in Paris kehrte er 1712 als Hauslehrer nach Frankfurt zurück, wo er in der Familie des Stadtschultheißen Johann Christoph von Ochsenstein Aufnahme fand. Von 1715 bis 1723 war er Pfarrer an der Dreikönigskirche in Sachsenhausen, ab 1723 an der Barfüßerkirche, der evangelischen Hauptkirche der Stadt. Am 23. Oktober 1742 wurde er Consistorialrath. Er starb am 17. Juli 1756 an den Folgen einer Lungenentzündung.

 Familie  [Bearbeiten]
Starck heiratete am 2. Februar 1717 in Frankfurt Katharina Reuß, eine Tochter des Kaufmanns Johann Martin Reuß. Von ihren sieben Kindern überlebten zwei:

Johann Martin Starck, Dr. beider Rechte und Advocatus orig.
Johann Jakob Starck, Pfarrer an St. Katharinen in Frankfurt. Er war mit einer Schwester von Catharina Elisabeth Goethe verheiratet, der Mutter von Johann Wolfgang Goethe.
 Werke  [Bearbeiten]

Starck gehörte einem Flügel des Pietismus an, der die Traditionen der lutherischen Kirche vertrat. Dies setzte ihn der Kritik radikaler pietistischer Kreise aus. Sein Hauptwerk ist die erstmals 1728 erschienenen Erbauungsschrift Tägliches Handbuch in guten wie in bösen Tagen. Mit ihr wurde er zu einem der meistgelesenen Autoren seiner Zeit. Das Buch wurde in mehr als 60 Auflagen verbreitet. (1906 erschien ein Nachdruck bei Heinr Feesche, Hannover mit der Angabe « 174. Auflage »!) Es enthielt Aufmunterungen, (d.h. kurze biblische Betrachtungen), Gebete und Gesänge in sechs Abschnitten:

1.für Gesunde,
2.für Betrübte,
3.für Kranke,
4.für Sterbende,
5.für Schwangere sowie
6.für Gebärende und Wöchnerinnen
Er schuf außerdem rund 1000 Kirchenlieder, die jedoch bereits Anfang des 20. Jahrhunderts keine Aufnahme mehr in die kirchlichen Gesangbücher fanden.

 Literatur  [Bearbeiten]
Uwe Buß: Johann Friedrich Starck (1680-1756) Ein Werktagsprediger der Barfüßerkirche, in: Fischer, Roman (Hg.): Von der Barfüßerkirche zur Paulskirche. Beiträge zur Frankfurter Stadt- und Kirchengeschichte (Studien zur Frankfurter Geschichte 44), Frankfurt a.M. 2000, Verlag Waldemar Kramer, ISBN 3-7829-0502-4
J.F. Starck: Tägliches Handbuch in guten wie in bösen Tagen, Christliche Verlags-Anstalt, Konstanz 1960
Karl Friedrich Ledderhose: Starck, Johann Friedrich. In: Allgemeine Deutsche Biographie (ADB). Band 35, Duncker & Humblot, Leipzig 1893, S. 463–465.
Karl Dienst: Starck, Johann Friedrich. In: Biographisch-Bibliographisches Kirchenlexikon (BBKL). Band 9, Herzberg 1995, ISBN 3-88309-058-1, Sp. 1223-1225.
 Weblinks  [Bearbeiten]
Literatur von und über Johann Friedrich Starck im Katalog der Deutschen Nationalbibliothek (Datensatz zu Johann Friedrich Starck • PICA-Datensatz)
Personendaten
NAME Starck, Johann Friedrich
KURZBESCHREIBUNG lutherischer Theologe und pietistischer Erbauungsschriftsteller
GEBURTSDATUM 10. Oktober 1680
GEBURTSORT Hildesheim, Deutschland
STERBEDATUM 17. Juli 1756
STERBEORT Frankfurt am Main, Deutschland
Von „http://de.wikipedia.org/wiki/Johann_Friedrich_Starck“
Kategorien: Lutherischer Theologe (18. Jahrhundert) | Autor | Literatur (18. Jahrhundert) | Literatur (Deutsch) | Lyrik | Mann | Deutscher | Geboren 1680 | Gestorben 1756Ansichten
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Schmolck, Benjamin, Johann Friedrich Starck und Conrad Mel.
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Verlag von Fleischhauer und Spohn, Reutlingen 1872. 776 Seiten 8° (18,5-22,5 cm), Halbleder, gebundene Ausgabe

schönes Exemplar mit goldgeprägtem Rückentitel, große deutliche altdeutsche Schrift, Buchblock sehr schön marmoriert, Seite 769 ist eingerissen, Vorsatzblatt mit einem handschriflichen Gebet versehen, ansonsten sehr guter Zustand
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Maladie, peur et souffrance            Krankheit, Leiden, Angst und Schmerzen,   page 340

O Jésus, ma joie, tu restes             Jesus bleibet meine Freude,            page 70

Par le baptême dans l’alliance       Ich bin getauft, ich steh im Bunde, page 351

Saint-Esprit de Dieu, du Christ     Geist des Vaters und des Sohns,      page 155